J’ai toujours aimé me promener dans la nature, faire des ballades dominicales en forêt et flâner au bord des rivières. Quelques bouffées d’air frais avant de revenir à la « civilisation »…
Et puis j’ai découvert qu’en repoussant mes limites, en marchant seul, longtemps et le plus loin possible je trouvais quelque chose d’essentiel. De l’endorphine plein la tronche, aucune contrainte, une découverte de tous les instants…Difficile d’exprimer le sentiment euphorique de liberté totale qu’offre une longue marche en pleine nature. Je comprends mieux ce que j’ai lu de Thoreau, de London ou de Tesson même si, du moins pour le moment, mes sorties ne sont en comparaison que de petites promenades.
« Seules les pensées qu’on a en marchant valent quelque chose » Nietzsche