La jambe celte de Baptiste, encrée en 3 séances. Je faisais beaucoup de celtique en Bretagne, à mes débuts : une angoisse sans nom sur des petites pièces bourrées de détails. Les sueurs froides quand les transferts s’effaçaient, les lignes qui ne se rejoignaient pas sur les bracelets… Alors quand Baptiste m’a demandé du celtique j’ai appliqué ce que j’ai appris toutes ces années, notamment sur l’aération des pièces. Et j’ai pris du plaisir à le faire ce celtique !
Une dédicace, au passage, à mon mentor Alain de Lorient qui a été à son époque le spécialiste européen de ce genre de pièce (c’est sans doute pour ça que j’en ai bouffé autant).